Cantate pour la planète

La cantate pour la planète  se divise en six mouvements, chacun dans un style folklorique différent, avec des textes qui parlent du monde, de la condition humaine, de la guerre et de la paix, de l’amour et de la nature.

  1. Entre a mi ciudad (Danzante)< o:p>
  2. Los colores de la tierra (Carnavalito Huayno)
  3. Desde lo hondo (Vidala)
  4. Mundo nuevo (Gato)
  5. Oracion por la paz (Milonga)
  6. Bailecito (Bailecito)

Cette oeuvre  nait d’une rencontre entre des textes d’inspiration Nahuatl (langue parlée des Aztèques au Mexique) et des rythmes de danses folklorique de l’Amérique du sud, en particulier de l’Argentine.

La poésie était une activité très appréciée par les Aztèques, elle était désignée par l’expression « in xochitl in cuicalt » (« la fleur et le chant ») et on appelait cette activité « chanter des peintures ».

Les principaux poètes étaient des princes ou des prêtres les plus importants de la société comme Nezahualcoyotl, Tecayehuatzin, Temilotzin et Yoyontzinsthl.

On pouvait distinguer plusieurs genres : les chants des origines du monde et de l’univers (Teotlatolli), les hymnes pour honorer les Dieux (Teocuícatl), les chants de la vie et de la beauté du monde (Xopancuícatl), les chants d’amitié et de la noblesse humaine (Xochicuícatl), les chants guerriers et héroïques (Yaocuícatl), et les chants de détresse et de mort (Icnocuícatl).

Le folklore argentin possède une grande variété de styles et de rythmes.

La plupart  prennent naissance de la musique indigène comme la Vidala, la Chacarera ou le Carnavalito. D’autres, sont plus modernes et furent le produit de la culture urbaine des XIXe et XXe siècles comme le Tango, le Gato ou la Milonga.

Agnès Lerdou

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